L’appel
L’appel d’urgence lui-même n’a pas dit grand chose aux pompiers. Il s’agissait d’une simple demande d’aide pour le sauvetage de certains animaux. Il ne précisait pas quels animaux étaient en danger, ce qui n’allait pas, combien d’animaux devaient être sauvés, ou quoi que ce soit d’autre. Ce n’était pas inhabituel car dans de nombreuses situations d’urgence, les gens n’ont jamais vraiment le temps d’entrer dans les détails. Outre le fait de fournir au service d’incendie l’endroit où l’on a besoin d’aide et le problème lui-même, la plupart des personnes qui appellent ne peuvent pas fournir d’autres informations. Cette absence de faits suffisants n’empêche cependant pas les pompiers d’agir.